Occurences de l'expression

oui

pour BARO, Balthazar

Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse

LA PARTHÉNIE (1642)

Oui, je ne puis comprendre v.1 (Acte 1, scène 1, NEARQUE)
Oui, trois jours seulement v.107 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Oui, mais cette beauté n'en est pas plus humaine : v.114 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
J'aime à te voir jouir du bien que je t'ai fait, v.188 (Acte 1, scène 3, ALEXANDRE)
Puisque ta main se plaît dans le sang qui la souille, v.201 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Immole à ta fureur cette faible dépouille v.202 (Acte 1, scène 4, PARTH?NIE)
Oui quand du monde entier j'aurais fait la conquête, v.241 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Que mon père quittant sa dépouille mortelle v.258 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Oui, l'état où je suis ne m'en dispense pas. v.512 (Acte 2, scène 2, HYTASPE)
Les voulez-vous souiller par ce lâche attentat ? v.776 (Acte 3, scène 2, PARTHÉNIE)
Oui, sans m'expliquer mieux dessus ton imposture, v.789 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
Oui, sache que l'amour dont son âme est atteinte, v.829 (Acte 3, scène 3, PARTHÉNIE)
Cette divinité l'éblouit ou l'étonne, v.841 (Acte 3, scène 3, PARTHÉNIE)
Vous jouissez d'un bien que le Ciel me dénie, v.854 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Va souiller ma pudeur et profaner ta couche. v.894 (Acte 3, scène 3, PARTHÉNIE)
Oui, si le Roi veut suivre un conseil salutaire. v.1038 (Acte 4, scène 2, HYTASPE)
Tout bouillant de l'ardeur de venger sa patrie, v.1225 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
De mon Hytaspe mort la dépouille sanglante, v.1306 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Tes mains comme ton coeur de pitié dépouillées, v.1337 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Semblent du sang d'Hytaspe encore toutes souillées. v.1338 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Ah ! Grand Roi, mais que fais-je ? Oui, Sire, nul outrage v.1533 (Acte 5, scène 4, PARTHÉNIE)
Oui puisqu'on m'a donné le pouvoir de mourir. v.1600 (Acte 5, scène 5, PARTHÉNIE)
Mes yeux est-ce lui-même ? Oui, je le vois paraître, v.1617 (Acte 5, scène 6, PARTHÉNIE)
Il est temps de jouir d'un repos assuré, v.1620 (Acte 5, scène 6, ALEXANDRE)

SAINT EUSTACHE MARTYR (1649)

Oui, Placide est sur moi plus puissant que moi-même. v.161 (Acte 1, scène 2, TRAJAN)
Oui, mais une beauté, la source des beautés. v.224 (Acte 1, scène 3, PLACIDE)
Ces trésors dont l'éclat éblouissait ta vue v.361 (Acte 2, scène 2, EUSTACHE)
Il faut que de nos corps nos âmes dépouillées v.377 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
Quittent l'or dont nos mains semblaient être souillées. v.378 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
Oui. v.442 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Oui, c'est lui-même. v.461 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Oui, le brouillard vient fondre jusqu'ici, v.500 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Et dont le sage esprit d'intérêt dépouillé v.579 (Acte 2, scène 4, FLORE)
De ces vices communs ne se trouvât souillé : v.580 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Oui ce peuple opprimé par ce chef infidèle v.621 (Acte 3, scène 2, TRAJAN)
Oui, se voyant trahi de la fortune. v.662 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
L'a dépouillé des biens qu'il soulait posséder. v.672 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Qu'importe que ces bois souillés par ta présence v.761 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
Et toi dont le beau corps n'eut jamais de souillure, v.781 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
Mes yeux n'ont point joui du bien de sa présence, v.869 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Qui t'a dit son destin ? Oui, par une disgrâce v.881 (Acte 3, scène 6, ARBILAN)
Maintenant tout la brouille, et cet âge où je suis v.955 (Acte 4, scène 1, AMINTOR)
Oui, si de soupirer tu veux perdre l'usage v.962 (Acte 4, scène 1, AMINTOR)
Et de quoi t'étonner, et de quoi t'éjouir. v.1036 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Enfin après un temps de brouillard obscurci v.1051 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Oui, par les mouvements que la Nature excite v.1074 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Oui mon frère c'est moi, v.1076 (Acte 4, scène 2, TEOPISTE)
Oui. v.1092 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Oui c'est nous. v.1101 (Acte 4, scène 3, AGAPITE)
Pourrais-je bien jouir de ce contentement. v.1103 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Oui. v.1105 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Oui, Madame, v.1317 (Acte 5, scène 3, ORMOND)
Oui, Madame, il faut que je confesse v.1353 (Acte 5, scène 4, TEOPISTE)
Oui, mais par un martyre, v.1430 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Oui, partez seulement, v.1551 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)

CLARIMONDE (1643)

Mon âme cependant d'intérêt dépouillée, v.201 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
D'aucune avare faim ne fut jamais souillée. v.202 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Je ne demande pas la dépouille des morts, v.207 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Oui, mais de ce pouvoir que son malheur vous donne v.305 (Acte 1, scène 3, MÉLIDOR)
Tempère seulement les bouillons de ton âme, v.389 (Acte 2, scène 1, CLARIMONDE)
Où mille oiseaux mignards gazouillent à toute heure v.597 (Acte 2, scène 4, LYDIANE)
Oui je m'acquitterai de ce juste devoir, v.603 (Acte 2, scène 4, ALCANDRE)
Ce discours embrouillé lasse ma patience, v.638 (Acte 2, scène 4, ALCANDRE)
Oui peur être à ta honte ; v.982 (Acte 4, scène 1, ALCANDRE)
Oui Sire, et son forfait, v.988 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Oui, c'est elle qui fait ma peine et mes délices, v.1074 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Oui jusqu'au diadème, v.1082 (Acte 4, scène 2, ALMAZAN)
Oui, crois que je mettrai pour punir ton erreur, v.1127 (Acte 4, scène 3, ALMAZAN)
Oui je tiens sous mes fers cette âme criminelle, v.1158 (Acte 4, scène 3, ALMAZAN)
Oui dans mon souvenir, mais non pas dans le monde. v.1186 (Acte 4, scène 3, CLARIMONDE)
Oui dans cette espérance, v.1237 (Acte 4, scène 4, SOLIMONT)
D'un homme déjà mort la dépouille vivante. v.1242 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Oui si vous permettez v.1331 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Ils viennent s'éjouir d'avoir brisé vos chaînes. On le regarde comme nouveau. v.1389 (Acte 5, scène 1, ALMAZAN)
Il n'a d'aucun forfait souillé sa conscience, v.1438 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Mais d'où vient qu'Argiran paraît tout réjoui ? v.1635 (Acte 5, scène 5, ALMAZAN)
Oui sa valeur a brisé tous obstacles, v.1645 (Acte 5, scène 6, ARGIRAN)

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LE PRINCE FUGITIF (1649)

Oui, Clyton, je soupire. v.17 (Acte 1, scène 1, PHILOXANDRE)
Oui, depuis que les flots de l'inconstant Neptune v.157 (Acte 1, scène 4, PHILOXANDRE)
Oui, Princes, nous joindrons son coeur et ma couronne v.201 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
Oui barbare, et tu sais bien pourquoi. v.212 (Acte 1, scène 5, ARCHESTRATE)
Oui, Madame, un dessein glorieux v.235 (Acte 1, scène 5, PHILOXANDRE)
Par un brouillard formé de traits et de poussière : v.306 (Acte 2, scène 1, LUCINDE)
Oui, Clyton. v.384 (Acte 2, scène 2, ARCHESTRATE)
Oui, j'ai vu cet infâme v.425 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
Pour vous laisser jouir d'une victoire entière v.441 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
À peine un ennemi de son sang a mouillé v.463 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
L'habit que j'avais pris, et que j'ai dépouillé. v.464 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
Et s'abandonnant tout au bien dont il jouit, v.579 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Plus il eut de frayeur, plus il se réjouit. v.580 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Oui, si tu veux me plaire, v.726 (Acte 3, scène 4, LE ROI)
Oui, Madame, et de plus sa passion aigrie v.786 (Acte 3, scène 5, PHILOXANDRE)
Oui, qu'insères-tu ? v.793 (Acte 3, scène 5, ARCHESTRATE)
Oui, mais j'aime en un lieu v.1052 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Que ne puisse éblouir l'éclat de ma splendeur. v.1089 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Oui, Sire, je présente à votre majesté v.1329 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Ce lâche usurpateur de cent crimes souillé v.1332 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Enfin a vu son bras de forces dépouillé, v.1333 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Oui, vous savez que j'aime, et ce qu'a mérité v.1359 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Que Séleuque souillé de l'horreur d'un inceste v.1406 (Acte 6, scène , ACANTE)

LA CLORISE (1634)

Oui de toute mon âme. v.73 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Ces arbres que l'hiver dépouilla de verdure, v.169 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Mais d'où vient que ces soins brouillent ma fantaisie ? v.233 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Oui. v.265 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Oui si tu me promets. v.300 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Quelque nouveau malheur brouille sa fantaisie. v.406 (Acte 2, scène , CLORISE)
Oui pourvu qu'il s'expose v.453 (Acte 2, scène , CLORISE)
Mais l'homme généreux dépouillé de malice v.545 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Je ne m'enrichis pas des dépouilles d'autrui. v.591 (Acte 2, scène , CLORISE)
Oui, mais pas assez pour me rendre volage, v.602 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Oui c'est moi qui t'appelle. v.781 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Faut-il que je le suive ? Oui ma fureur m'y pousse ; v.809 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Si les lieux où tu vis dépouillé de ton corps v.895 (Acte 3, scène , CLORISE)
Qui ressemble à des lys mouillés d'un peu de sang ; v.1088 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Oui je le vois venir. v.1137 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
De parler franchement, et dire oui ou non v.1257 (Acte 4, scène , NICANDRE)
Oui trop tôt pour entendre v.1352 (Acte 4, scène , CLORISE)
Oui, puisqu'elle vous plaît, elle sera suivie v.1420 (Acte 4, scène , ALIDOR)
Oui vivez j'y consens, si pour me secourir v.1502 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Oui v.1679 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Oui celui de mourir. v.1685 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Oui vraiment pour guérir du mal que je supporte v.1692 (Acte 5, scène , ALIDOR)

CÃ‰LINDE (1629)

Madame, je ne doute pas que votre amour ne condamne mon obéissance, mais il n'arrivera jamais qu'à faute d'obéir, ma mère ait droit d'accuser mon amour ; je dis cette vérité avecque regret, car sans être le plus ingrat de tous les hommes, je ne saurais nier que je ne doive beaucoup aux honnêtes libertés dont votre amitié m'a permis de jouir : mais belle Parthénice, si vous croyez que je vous sois extrêmement obligé pour avoir nourri de quelques faveurs le repos de ma vie, jugez ce que je ne dois point à celle sans qui je n'eusse jamais vu ni Parthénice ni le jour. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Et bien ; puisque le souvenir des larmes dont tes yeux ont mouillé tant de fois mon sein, ni celles que je verse maintenant ne sont capables d'amollir la dureté de ton coeur, change hardiment, et triomphe en même temps de mon amour et de ma vie : tu éprouveras jusqu'à quel point de fureur se peut convertir une patience outragée ; tu sauras que sous le corps d'une fille, je porte un esprit capable de me faire imiter les plus grandes actions que le désespoir ait inspirées à ceux que l'Amour et la fortune n'ont pas mieux traités que moi. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Et bien, puisque tu manques de courage comme d'amour, et qu'au lieu que je soulais voir en toi toutes choses en leur perfection, je n'y remarque aujourd'hui que des défauts, rends-moi, rends-moi cette épée ; permets que je donne à ta tromperie la dépouille de ce corps qui n'a plus d'âme, depuis qu'il ne possède plus Floridan. (Acte 1, scène 1, PARTH?NICE)
Oui Floridan, j'espère de la justice du Ciel, que pour me venger, mon ombre, inséparable de tes pas, te pourra toujours reprocher l'énormité de ton crime. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Jamais une fille n'oublie celui qui a cueilli cette première fleur : et quand même pour en jouir il aurait commis un crime, tôt ou tard le pardon en éloigne le châtiment. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Il assemble donc quelques-uns de ses amis, et un jour que Parthénopé était allée avec une de ses tantes visiter une maison qu'elle avait aux champs, il l'enlève ; et l'ayant conduite dans un château qu'il avait assez près de là, il l'épouse par force, et par force jouit de toutes les faveurs qui sous les noms de femme et de mari ne peuvent légitimement être refusées. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Oui, mais il me semble que je lis dans son action quelque répugnance à ce dessein. (Acte 1, scène 3, DORICE)
Viens çà, cher Philindre, agréable témoin, et fidèle confident de tous les secrets de ma vie, crois-tu que ce Dieu qui débrouilla le Chaos, puisse aimer dans nos esprits le désordre ni la confusion ? (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Les dépouilles de sa défaite. v.18 (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Oui, mais de peur qu'un corps opposé vous donnât de l'ombrage, je vous laisserai seul dans la liberté de jouir de sa lumière. (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Je vois des brouillards devant mon Soleil, dont je crains qu'il se forme un orage qui n'éclate qu'à ma confusion ; la trace de ces larmes, qu'en vain un mouchoir officieux essaie de me cacher, et cette pâleur qui triomphe des roses de son teint, sont les infaillibles marques de quelque malheur advenu. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Afin que vous ne m'accusiez pas d'être paresseuse à m'acquitter de mon devoir, je viens des premières me réjouir avecque vous d'une nouvelle qui vous touche, et que j'ai apprise seulement depuis aujourd'hui. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Enfin ce qu'est l'Aurore à ces petits feux qui brillent durant la nuit, on peut dire que Célinde l'est aux Dames de cette Cour, ce qu'elles ont d'éclat ne sert qu'à relever les traits de son visage ; dont le charme pénètre les coeurs avec la même facilité, qu'on voit le Soleil faire jour à ses rayons dans un bocage que l'Hiver a dépouillé, et à qui le Printemps n'a pas encor rendu toutes ses feuilles. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
C'est le propre d'un esprit brouillé de ne s'expliquer pas clairement. (Acte 2, scène 4, PARTHÉNICE)
Et moi j'atteste les Dieux que j'honore Floridan jusqu'à un point, que l'accomplissement de ses désirs n'était retardé que par les obstacles de Célinde, une même heure nous verrait dans la jouissance de nos communs contentements. (Acte 2, scène 5, CÉLINDE)
Ah quand mon sang bouillonnais jadis échauffé des jeunes ardeurs de votre âge, j'eusse été bien marri qu'un seul jour se fût écoulé, sans me voir employé dans quelque nouveau passe-temps ; tantôt dans les Joutes et les Tournois, tantôt dans les bals et les assemblées ; quelquefois en des festins, d'autrefois en des Comédies. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Sus donc, Célinde, allez de bonne heure mettre ordre à tout ce qu'il faut, allez-vous faire donner les clefs de ma garde-robe, de tout temps assez bien pourvue d'une grande diversité d'habits ; fouillez tout, renversez tout, je vous le permets, à condition qu'on ne parle que de jouer et de se réjouir ; cependant je prendrai le soin d'en avertir Dorice, et d'y convier nos plus intimes amis. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Mais d'où vient qu'au désir de cette jouissance v.271 (Acte V3, scène 1, HOLOFERNE)
Oui, mais une action est-elle téméraire v.315 (Acte V3, scène 3, JUDITH)
Oui, Célinde, j'en ai importuné votre affection ; mais qui eût cru que pour me guérir d'une douleur, vous eussiez voulu vous servir d'un remède pire mille fois que le mal ? (Acte 4, scène 1, PARTHÉNICE)
Oui sous d'autres fers que les tiens, et Lucidor qu'elle avoue pour mari, se dit principal auteur de cet accident tragique. (Acte 4, scène 2, DORICE)
Cette colère où vous étiez ce matin, s'est-elle dissipée avecque les brouillards, et votre fureur ne peut-elle éclater que dans la résistance ? (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Oui Floridan, je te pardonne, je te pardonne cher ami, mais que tu es ingrat, cependant que je propose d'oublier ton crime, tu te mets en état de ne penser jamais en moi : Floridan ? (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
Pourquoi ne peuvent mes désirs obtenir au moins cet avantage, que je pusse baiser une fois ce qui me blesse, afin que je trouvasse quelque remède au lieu même d'où j'ai reçu tant de mal : Belle Célinde, je m'imagine que mon sort a quelque chose de semblable à celui qui pour avoir vu son visage dans l'eau, devint amoureux d'une image, qui lui fit perdre la vie faute d'en pouvoir jamais jouir. (Acte 4, scène 4, LUCIDOR)
Oui, mais c'est toujours avecque l'image de notre commune prison, toutefois ce bien ne durera guères, je vois que Philindre a été surpris. (Acte 4, scène 4, LUCIDOR)
Oui si l'ombre de Floridan pouvait être consultée, elle dirait bientôt qui de Célinde et de moi, doit être puni comme coupable, ou conservé comme innocent, elle vous apprendrait, grand Alcandre, que puisqu'il était fatal à Floridan de mourir pour elle, il n'importait que ce fût d'un coup de sa main ou de ses yeux ; mais que ma seule jalousie ayant tramée cette trahison, on s'en doit prendre à moi comme à la première cause : en effet on n'a pas accoutumé de rompre le fer qu'un assassin a trempé dans le sang de son frère, on s'attaque au meurtrier ; ainsi on doit épargner Célinde, puisque contrainte de céder à la force de mes persuasions, elle n'a servi en cet homicide, que d'instrument à ma cruauté. (Acte 5, scène 1, LUCIDOR)
Oui je suis content, et si quelqu'un doit être puni pour avoir attenté sur ma vie, j'amène les coupables, car voici les yeux de Parthénice qui me font mourir d'amour. (Acte 5, scène 3, FLORIDAN)
Je vous dirai donc, que le coup est parti d'un courage fort, mais d'une main bien faible ; je crois bien que Célinde lui voulait enfoncer le poignard dans la gorge, mais de bonne fortune il a glissé le long de l'épaule et n'est descendu que sur le bras ; il est vrai qu'il a rencontré l'un des vaisseaux de la veine que nous nommons Axillaire, et c'est par là que Floridan a perdu le sang qui l'a fait évanouir. (Acte 5, scène 3, FLEURIMON)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,32 % des textes) dans lesquels il y a 150 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 25,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte V1	Acte V2	Acte V3	Total
1	LA PARTHÉNIE	8	1	6	5	4	0	0	0	0	24
2	SAINT EUSTACHE MARTYR	2	8	7	10	4	0	0	0	0	31
3	CLARIMONDE	4	4	0	10	4	0	0	0	0	22
4	LE PRINCE FUGITIF	5	6	5	2	0	5	0	0	0	23
5	LA CLORISE	5	5	3	5	4	0	0	0	0	22
6	C?LINDE	7	9	0	6	3	0	0	0	0	25
7	CÉLINDE	0	1	0	0	0	0	0	0	2	3
	Total	31	34	21	38	19	5	0	0	2	150